Par Nacim Khennache
Le plateau St-Joseph est le développement de mégacentre en périphérie de la ville de Sherbrooke. Cette problématique s’applique à plusieurs villes de région et de banlieue du Québec. Des impacts important sont ressentie dans tous les secteurs de la société, tant économique, sociale et environnementale. Ce n’est pas à l’avantage de ces secteurs mais plutôt des inconvénients importants, désastreux et souvent irréversible.
La municipalité à mis le projet de l’avant même s’il s’avait très bien que le marché commercial de Sherbrooke est saturé à 160%. Les prises de décisions de la sorte sont souvent trop influencées par les promoteurs qui font des pieds et des mains pour faire passer leurs projets. D’un point de vue économique, les impacts sur le commerce de proximité et les artères commerciales de la ville sont importantes. L’aménagement en périphérie de la ville implique une utilisation abusive de l’automobile, par conséquent, une augmentation des gaz à effet de serre. Enfin d’un point de vue social, le développement de mégacentre est à pour effets de ruinée l’atmosphère urbain au détriment des commerces de quartier. Il est difficile d’obtenir un sentiment d’appartenance envers une grande surface.
Finalement, le merveilleux monde de la démocratie dans lequel nous vivons, à fait en sorte de réfuter le plan d’urbanisme. Le camp du non l’on emporté à 56,7% des voies. Une défaite pour l’administration Perrault (maire de Sherbrooke), qui porte un message que voici: « Hey Mr Perrault, si ce n’est pas de l’aménagement du territoire selon le développement durable on ne veut rien savoir, Merci!»
mardi 27 novembre 2007
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1 commentaire:
Great work.
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