Par Jean-Philippe Loiselle Paquette
Une part importante du système urbain, l’acteur est celui qui possède les ressources pour mener à bien l’action collective. Qu’il s’agisse d’un professionnel ou d’un simple citoyen impliqué, tous peuvent prendre parti dans ce genre d’action. Tout dépendant du système en place, l’acteur peut jouir d’une plus ou mois grande liberté, mais doit toujours utilisé une certaine rationalité pour le bien collectif d’une société. Cette rationalité faibli dans une société qui se fait plus individualiste et ou le bien commun tente de disparaître. Comme nous rappel la commission Bouchard-Taylor, il doit accommoder le plus de citoyen possible, ce qui rend sa tâche ardue et laisse certaines personnes dans l’oubli. Les difficultés ou les contraintes auxquelles il se heurte sont quotidiennement une source d’avancement et l’entraîne à la résolution de problème complexe. Cependant l’acteur n’est pas seul, des organisations l’appuient dans des partenariats et leurs membres sont supporteurs des comportements de l’action collective dans le système que l’acteur met en place. Les dirigeants, ou la gouvernance dans ce qui nous intéresse, mettent en œuvre des plans et des projets qui guident les choix dans sa démarche pour trouver des logiques de solutions. D’autre part, il peut jouer le rôle d’intermédiaire dans la négociation entre la population et la gouvernance en situation d’impasse conflictuelle sur des sujets qui traite du système collectif d’une ville ou d’une autre instance. Tous et chacun sont donc impliqué dans la participation de l’organisation d’un système collectif voué au bien de tous. Finalement, l’acteur pose des actions pour que les besoins des individus soient comblés dans l’implantation d’un système ou d’une société collective.
Inspiré de Crozier, M et E. Friedberg (1981) L’acteur et le système. Paris : éditions du seuil.
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